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Qu'est ce que la television ?

Mohamed Nabil (Journaliste et chercheur dans le domaine des medias au Canada)

spm111@yandex.ru


La presence quotidienne de la television a provoque un sujet passionnant, qui pose plusieurs problematiques et paradoxes. C'est un objet qu'on peut saisir a differentes phases et periodes, selon les lectures, les interpretations et la vision de ceux qui parlent ou consomment les produits televisuels. Le recit historique peut nous referer aux ecritures et recherches traitant l'objet de la television. C'est a travers ces approches que je vais aborder la problematique : qu'est ce que la television ?

Cette question repose sur plusieurs dimensions qui nous imposent d'etre prudent et qui nous invitent a ne pas identifier tres vite la television, car le fait de questionner la television, nous permet de s'ouvrir sur plusieurs horizons.

La television, quelle histoire ?

Depuis longtemps la television est un objet de parole, qui a evolue a l'initiative de quelques chercheurs et qui a commence a satisfaire a plusieurs usages du public. La television comme disait Mehl : " est devenue plurielle ".

La television est devenue une partie prenante de notre quotidien " jouant l'anonyme dans les salons, les boudoirs et les chambres a coucher " (Le mieux, 45). Cette presence est fort recente, elle n'a qu'entre 60 et 70 ans d'existence en tant que technologie. En plus, Duby rajoute que " comme beaucoup d'intellectuels de mon age, j'ai longtemps boude la television, je la voyais comme une intruse. Elle risquait d'envahir dans mon intimite le champ tres large que j'entendais reserver a la lecture, a la musique, aux commerces de l'amitie " (Duby, p. 34).

La television devenait un objet de l'histoire dans les annees 70 et ce qui fait en realite une nouvelle difficulte pour les historiens et ceux qui s'interessent a l'objet de la television. C'est que cette derniere occupe une place dans notre vie quotidienne. Elle represente " une fenetre ouverte sur la vie, et sur le monde, une vitrine chatoyante nous exposant l'actualite et les histoires complexes ou ordinaires des relations entre les humains et leurs emotions " (Le mieux, 45), c'est pour cette raison, qu'elle devienne une image qui penetre notre vecu sans lui faire violence. La television est miracle technique audiovisuel.

Ces dernieres annees on a connu une nouvelle ere. C'est l'ere du tout communication rendue possible grace a une convergence de plusieurs filieres techniques comme les telecommunications, l'informatique et l'audiovisuel, ce qui facilite la mediation en prenant en consideration l'evolution des contenus des objets et des usages.

Meme si les ouvrages classiques sur l'histoire de la television demeurent rares, il y a une theorie de la television comme moyen de communication, qui va rapidement etre utilise a des fins de propagande par le regime hitlerien. Il y a un nombre important de recepteurs sont installes des 1936 pour que le peuple allemand puisse suivre en direct les performances de ses athletes aux jeux olympiques de Berlin. Il etait convenable d'analyser l'industrie electronique, et surtout la television autant qu'objet technique, devenant un phenomene qui ne " se trouve dans aucune autre situation ordinaire de la vie. En auto, au cinema, en marchant, en lisant ou en mangeant toujours l'?il bouge et balaye un certain panorama. Seule la television nous oblige a ce comportement d'authentiques zombis, passifs et immobiles comme des eponges a images, a demi hypnotises " (ibid., 67). Dans ce contexte, cette technique facilite une consommation excessive d'image. La television " [, " [est] elle devenue la regle chez nous, constitue une formidable perversion biologique " (ibid. 58). Le meme point qui constituait une difficulte pour etudier la television par l'historien (le fait qu'elle a envahi notre quotidien devient positif) represente une dimension positive. C'est parce qu'elle releve du quotidien, que la television est devenue un objet historique. D'ailleurs, c'est cette dimension positive de l'histoire de la television qui a fait le public.

En tout cas, la television " devenue un fabuleux instrument d'apprentissage, une arme contre l'etroitesse d'esprit, une fenetre sur le monde " (ibid., 65). Elle est un formidable stimulateur d'imaginaire a cote d'autres objets techniques comme le journal, la radio, et l'Internet.
L'analyse de la television nous oblige de soulever d'autres angles pour la definir, comme le pouvoir qu'elle exerce sur les individus et les groupes. Elle est la principale institution d'une democratie de masse, qui organise d'une maniere ordinaire de notre temps, ce qui cree son pouvoir. On parle d'ores et deja du pouvoir televisuel. " La television exerce sur " le grand public " un pouvoir de suggestion et d'evidence particulierement grand : l'image d'information parait plus vraie que tous les recits " (Champagne).

Le fait que la television domine aujourd'hui le public la rend une reference. Il est devenu une habitude de se poser la question : " est ce que tu as vu hier a la television ? ". Ce pouvoir pose une question importante : quel est le contenu culturel de la television ?

" Le mariage du telephone, de l'ordinateur, et de la television estomperait les frontieres apparemment bien etablies entre les usages de ces objets " (ibid., 73), ce qui donne lieu des genres televisuels, dont chacun a ses specificites.

La culture de la television, souleve la question du terme, car " le mot 'culturel' est dangereux… Je preferais dire enrichissement plutot que culture " (Mehl, 75). La television transmet differents produits culturels, differente " valeurs de l'education populaire, qui ont tellement marque les politiques culturelles tous du catholicisme social que de la gauche socialiste et communiste. Dans cette perspective, l'image etait dessinee a frapper l'esprit des gens qui maitrisent mal l'ecrit, pour les pedagogues, enseignant comme realisateurs, la television etait le moyen d'acces a la culture pour ceux qui en ont ete exclus " (ibid., 75). Mais Mehl precise que l'idee de culture populaire, qui fut la reference des annees d'apres-guerre, a perdu de sa force avec l'evolution des rapports entre les classes sociales dans les pays developpes " (Mehl, 78).

En plus, on ne peut pas nier l'influence du recepteur " qui a penetre la quasi-totalite des voyais et son ecoute donne une impression de massivite parce qu'elle est regardee regulierement par tout le monde " (ibid., 76).

Aussi, l'effet de a television a touche " le loisir populaire sans effort et la detente familiale a domicile " (ibid., 76). La tele autant qu'objet technique diffusant des messages, fascine le public a travers ces images en " impliquant des telespectateurs,reunis en famille devant leur recepteur selon le modele de poste " (ibid., 77).

Et pour tracer les particularites de la culture de la television, on peut reciter Mehl, qui dit que " la culture a la television, ne peut se concevoir que sur le monde de la vulgarisation… Cette forme de culturelle, renvoie non aux traditions de l'ecrit mais a celles de l'oral, vecteur par-dela les frontieres de classes et de groupes, des grands d'une epoque " (Mehl 82).

Au sein de toute cette consommation, la television participe a une communication, lie les telespectateurs avec leurs postes puisque " communiquer ce n'est pas autre chose que consommer de la relation " (ibid., 79). Cette derniere porte des valeurs, une culture. Le developpement de cette creation culturelle a plusieurs nouvelles technologiques de communication, ce qui souligne le deficit structural de la television classique : l'absence d'interactivite " (ibid., 80). La relation communicationnelle liee a la television permet de penser techniquement, ce qui a " un terminal universel permettant de visualiser indifferemment images, textes et autres donnees " (ibid., 83).

La television est un meuble qui communique. Elle est un " objet interactif, n'a pas de finalite en lui meme : on le manipule pour tester ses performances en se mesurant a lui, pour faire fructifier au mieux ses propres capacites " (ibid., 83).

En fait, " l'entree de la television dans l'imaginaire de la communication, s'opere dans un contexte de diversification des supports ecrans, de multiplication de leurs fonctions et de leur generalisation dans l'ensemble de l'espace " (ibid., 84).

Ce travail de la constitution progressive d'une culture du l'ecran rend un peu derisoire sinon archaique le debat des intellectuels sur la culture de l'ecran. Et " pour ne pas s'appesantir plus longtemps sur la critique de cette critique- critique, le veritable probleme -si on laisse de cote la question esthetique- serait plutot de saisir comment notre maniere de construire la realite de la culture de masse est passee d'une conception a terme d'alienation, de ravage, de passivite, de controle social a une rhetorique extatique ou tout est cool, sympathique, a prendre au second degre. Il ne suffit pas de denoncer le triomphe de la mediocrite sur la pensee " (ibid. 86).

En se basant sur l'aspect culturel de la television, une question problematique se pose : est ce que la television represente un temoin de l'histoire ?

Le rapport de la television avec l'histoire necessite de citer au debut, la relation problematique qui existe entre deux elements (l'histoire et television) : comment peut-on faire de l'histoire a partir de la television ?

La premiere reponse, repose sur le desinteret de l'historien classique envers ce poste, qui " n'est devenu que tardivement un objet d'etude reconnu " (ibid., 34). D'abord, pour des raisons liees a l'existence recente de la television autant que technologie. La mefiance de la part des chercheurs et universitaires envers l'objet de la television, qui donne l'impression que la scene audiovisuelle est immobile, a contribue a ce que la television releve d'autres disciplines, comme la sociologie, ce qui nie la particularite theorique de la television.

Les historiens " s'inquiet [ent] du sort des archives audiovisuelles " (ibid., 34). Cela represente pour eux une raison valable pour l'eliminer comme objet d'histoire. Cette absence de l'archivage perturbe la presence de la television autant qu'un temoin historique, puisque l'historien est habitue a travailler sur des documents.

La deuxieme attitude, celle qui repose sur le fait que la television devient un objet de l'histoire qui est " appelee dans les annees 70 ' la nouvelle histoire' " (ibid., 34). Ce changement d'attitude a participe a une creation de plusieurs ouvrages sur la television durant les annees 90. Cet interet " a developpe la situation de la television qui devient une source de l'histoire " (ibid., 35), plus importante que l'ecrit. La television devient non seulement temoin de l'histoire mais " l'un des acteurs de l'histoire " (ibid., 35).

Donc, le public a commence a s'interesser a l'histoire de la television, ce rapport a conduit a l'interactivite des telespectateurs, qui est reflete a travers le temoin televisuel. Ce petit ecran est devenu un outil historique, recent et qui date seulement a la derriere epoque des 20 siecles.

L'histoire de la television s'oriente de plus en plus vers " une histoire de la programmation et l'histoire des ?uvres. Il s'agit des ouvrages consacres aux createurs de la television ou au programme televisuels. Dans ce sens, la television est le canal de diffusion de produits imaginaires voues comme les autres arts de communication a la fiction " (Mehl, 207). Au debut, la creation televisuelle devient " comme une forme d'expression culturellement reconnue en Grande-Bretagne " (ibid., 43). En revanche, Daney considere la television comme moyen de transmission mais non comme un lieu de creation (ibid., 42). Cette critique envers la creativite televisuelle nie l'authenticite de la television, cela a pousse l'auteur Fansten a dire : " j'ai envie de faire tant de films qui soient vraies ?uvres " (cite par Mehl, 209). Donc, la vraie ?uvre televisuelle n'existe pas dans " la matiere brute, de ce qui pourrait devenir une ?uvre ou se tiendrait en etat d'equilibre " (Mehl, 213).

La faible legitimite culturelle de la television accompagne sa popularisation (radio, image, cinema a domicile) ce qui pose une question sur l'existence du public et surtout la famille qui etait au debut une cible des moralistes, qui voulaient arracher les gens a la television. En revanche, les experts d'aujourd'hui ont pour principale preoccupation de les fideliser.

La parution de la television : quelles circonstances ?

La revolution audiovisuelle a marque la vie des telespectateurs, elle " apporte le reve a domicile. Fenetre ouverte sur le monde " (Mehl107).

Le contexte televisuel quebecois, qui a passe par une revolution tranquille et qui a un meme temps subi l'influence de la culture americaine, nous permet de poser la question suivante : quelles sont les circonstances qui facilitent le fait d'inserer la television a la domestication ?

Avec l'arrivee de l'electricite et surtout celle. La femme s'est liberee petit a petit des taches menageres. Ce debut de siecle, jusqu'au annees 50 s'est caracterise par une culture de consommation. C'etait une epoque de la famille nucleaire au sein de laquelle la television prenait une place importante. Le fait d'avoir la television etait pour la famille une source de satisfaction. Dans les annees 50 et 60 sur le plan culturel, la television passait d'un role de fascination a un role de communication, dans une epoque ou la presence des objets a ecrans s'est multipliee, non seulement dans le foyer mais surtout a l'exterieur (les lieux publics, travail, transport, education), ce changement majeur est le fruit de la culture de l'ecran. " La television serait desormais entree dans l'ere de tout communication et du tout culture en devenait une chose impensable " (Chambat et Ehrenberg 109). Cela traduit la problematique d'intimite et de la presence dans la vie actuelle.

Parler de la television, autant qu'un objet technologique fait appel a la presence de la radio cristal, par exemple. Dans ce temps, c'etait surtout le pere qui dominait le plaisir d'ecouter. C'est lui qui decidait de passer ce poste, a la femme, ou aux enfants, mais l'arrivee du haut-parleur a ameliorer la reception du reseau " la radio et la television etaient au debut des grands postes, et la salle qui les adoptait etait comme un salon de spectacle " (Moors. R. ibid.).

Les programmes de television ciblaient la famille et surtout la femme qui jouait un role de responsabilite. C'est elle qui gerait le foyer. Cette domesticite excessive devenait une monotonie qui a change radicalement la famille nucleaire en la transformant a des unites economiques, politiques, etc.

Parler de la television et de la famille c'est definir les rapports entre le public et le prive. Silverstone parle du home ou le chez soi, qui est une conception sociale, reliee a un lieu physique. La television fait partie du chez soi ce qui la situe au centre de la famille en se considerant comme un membre du foyer qui partage la memoire familiale.
La domesticite de la television est " un concept de relation produit d'une sphere privee et publique, et aussi un produit de la modernite " (R. Et Silverstone, 111).s

La programmation, dominante ou dominee ?

L'influence televisuelle sur le public a introduit le travail des programmateurs qui cherchaient le lien avec le public en faisant des programmes de la reception. " La conception de la programmation mise en ?uvre dans une chaine est etroitement dependante de l'idee generale qu'elle se fait du profit du grand public qu'elle veut ou croit toucher " (Mehl 150). Mais cette tache reste tres difficile vis-a-vis des contraintes ethiques (groupes de pression, tabous), situation de concurrence, et le devoir de faire un bon profil de programmation.

Certes, le programmateur est entre dans un defi. Il s'agit de fideliser et augmenter le nombre des telespectateurs, qui ont plusieurs choix, selon les ageasses sexes, les genres televisuels (authentifiant, ludique, fiction), etc. tous ces criteres doivent entrer en jeu. La programmation est un metier de formation sociale, puisque le message televise est cible vers " un audience" qui recoit. Le paradoxe de la television est " qu'elle veut bien etre vu mais regardee et encore moins critiquee " (Mace, p. 137).

La programmation de la television est nee des besoins des telespectateurs et cela impose des imperatifs lourds aux programmateurs qui se trouvent devant un dilemme par exemple : quel genre de grille qui pourrait satisfaire toutes les categories des telespectateurs ?

Si on admet qu'" avec le zappage, c'est de moins en moins l'homme de television qui programme et de plus en plus le telespectateur, le detenteur de la commande se fait sa propre grille " (Mehl, p. 167), alors, qui decidera en fin de compte, le programmateur ou le telespectateur ?

Lorsque l'attention des programmateurs se porte vers l'audience, qui devient une mesure de succes et un bareme considere au moment de la programmation au point de vouloir juste la cote d'ecoute d'une emission ou d'un programme basee sur des sondages retires de memoire des gens, ce travail est loin d'etre objectif.

La programmation veut definir l'audience et avoir une garantie qu'il y a des gens qui vont regarder la tele en leur faisant une promesse.

Et si on considere autrement " l'identite du groupe repose pour une part non negligeable des strategies d'exclusion. Quand ce groupe est un public ces strategies se traduisent de facon specifique " (Dayan, p. 252).
Comprendre le public c'est savoir comment les gens qui regardent la tele partagent les memes caracteristiques que les programmateurs imaginaient.

" Les industries televisuelles parlent au public. Les chercheurs de diverses denominations parlent au public ou en son nom " (ibid., : 262). Cela donne deux sortes de publics ; l'un est imagine, represente par des gens qui pensent qu'ils se sont vus et il y a des autres qui regardent la television, par contre l'autre type c'est le public imaginaire par les telespectateurs. Il y a une homogeneite du public qui pose une question problematique : quels sont les points d'interaction entre les publics et l'audience ?

Il est utile de noter qu'" audiences et publics [sont] souvent composes des memes spectateurs. Ensuite, l'acte par lequel on decide si l'on a a faire aux unes ou aux autres est souvent un acte d'evaluation. Enfin, les audiences de la television de masse peuvent masquer des publics. Ces audiences peuvent aussi se transformer en publics " (ibid., p. 271). Ces points d'interactions necessitent d'etudier la reception televisuelle en entrant dans l'intimite des recepteurs tout en montrant la diversite des lectures, des modes de constructions, la diversite des publics ce qui conclut, en effet, qu'il y a des publics mais ils ne s'interessent ni a la production ni a la constitution de ces publics.

" L'homogeneite du grand public mediatique induit une priorite au volume d'audience " (Mehl, p. 148). On trouve que cette " orientation convient mieux au modele relationnel de television generaliste qu'au modele messager " (ibid., p. 148).

Au sein des recherches sur la television, on constate que " les etudes qui se focalisent sur les publics tendent progressivement a s'eloigner de tout interet primordial sur la television " (Recueil, p. 278), puisque la problematique du public et de l'audience a plusieurs dimensions.

" En d'autres termes, s'il existe un public de television son statut doit etre qualifie. C'est un presque public " (Dayan, p. 281). C'est pour cette raison que la reception n'est pas chose facile a saisir.

Evidemment la question problematique : comment definir la television ? est fondee sur plusieurs dimensions qui sont pleines de paradoxes. Et ce qui complique la reponse c'est la pluralite et la diversite des perspectives. Definir la television nous oblige a prendre en consideration tous les points et dimensions cites auparavant dans le but de creer une lecture relativement globale qui permet de " conjuguer " la television au pluriel.

Liste bibliographique
1-CHAMPAGNE, " l'influence de la communication visuelle dans le travail de l'information ecrite et la construction televisuelle de l'opinion " Voir adresse suivante :
www.homme-moderne.org/socit/socio-champagn-influen.html, consulte le 20 avril 2002.
2-LANGUE, Andre, " Introduction a l'histoire de la television ". Voir l'adresse suivante :
http/histv2.free.fr, consulte le 20 avril 2002.
3-LEMIEUX, Michel, (1990), L'affreuse television, pamphlet, Montreal, Guerin.
4-MARTIMAU, Richard, (1993), Pour en finir avec les ennemis de la television, Montreal, Boreal.
5-CHAMBAT, Pierre et EHRENBERG, Alain, (1988), " De la television a la culture de l'ecran ", Debat, n? 52, pp. 105-132.
6-MOORS, Shaun, Media and everyday life in modern society, Edinburgh University Press.
SILVERSTONE, Roger, Television and everyday life, London ; newyork.
7-MACE, Eric, (1994), " La programmation de la reception. Une sociologie critique des contenus ", Reseaux, n : 63.
8-DAYAN, Daniel, (2000), " Les mysteres de la reception ", Reseaux, n? 100, pp. 146-162.
MEHL, Dominique, (1992), La fenetre et le memoire. La television et ses programmes, Paris, Payot.

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